Pierres de fée


[vc_row][vc_column][vc_column_text]pierre-de-feeConstituées de sable fin et de limon consolidé par un ciment calcaire (carbonate de calcium) ces pierres et l’originalité de leurs forme sont un phénomène commun dans le nord québécois particulièrement sur le fond des grands lacs d’origine glaciaire. La face supérieur des concrétions est ordinairement lisse et régulièrealors que la face intérieur est souvent rugueuse avec des boursuflures sphérique. Les lignes irrégulières sur certaines pièces sont dues aux traces laissées par de minuscules vers ou des débris organiques qui ont été foccilisés au cours de millier d’années comme si la terre avait voulu les garder en mémoire dans son grand ordinateur géologique.

Ces concrétions se trouvent dans des dépôts meubles du Quaternaire où elles furent mises en place dans des étendues d’eau ayant occupé les dépressions lors du recul du front glaciaire; subséquemment elles ont été charriées par les cours d’eau et déposées au bord des lacs et des rivières

Lea amérindiens les appelaient «pierres de fée» et arboraient souvent les petites pierres comme porte-bonheur au cours des expéditions de pêche et de chasse alors que les amoureux offraient les plus belles aux élues de leur coeur. Les plus grands spécimens occupaient une place d’honneur dans les maisons où selon la légende ces pierres assuraient la protection contre les mauvais esprits en plus d’apporter santé et prospérité aux occupants des lieux.

Source: tiré du livre «Pierres de fées» de Jean-Paul Drolet[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]